Comme Myriam, près de 1 million de Portugais sont considérés comme des prestataires de service. Mêmes s'ils pointent chaque jour à l'usine ou au bureau, avec des horaires fixes et des collègues de travail qu'ils fréquentent depuis des mois, voire des années, leur patron reste un simple client à qui ils facturent une prestation et qui peut interrompre la collaboration du jour au lendemain. "Comme on présume que tu es indépendant, tu n'as aucun des droits d'un salarié", s'irrite-t-elle. Pas de congés payés, pas d'indemnités de chômage ou journalières pour maladie.
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